Comment soulager la douleur dans les épaules et le cou ? Découvrez des solutions pour apaiser vos douleurs d’arthrose cervicale : Traitements médicaux, exercices pratiques et remèdes naturels pour retrouver mobilité et confort au quotidien.
Sommaire
- Douleur dans les épaules et le cou : Douleur cervicale
- Arthrose cervicale, c’est quoi ?
- Arthrose cervicale sévère symptômes
- Problème aux cervicales : Comment identifier avec certitude l’arthrose cervicale
- Comment soulager l’arthrose cervicale : Solutions médicales
- Remède de grand-mère arthrose cervicale
- Alimentation et compléments pour combattre l’inflammation
- Quand faut-il envisager une intervention chirurgicale ?
- Douleur dans les épaules et le cou : Témoignages et parcours de patients
- Douleur dans les épaules et le cou : La conclusion
- FAQ sur l’arthrose cervicale
Douleur dans les épaules et le cou : Douleur cervicale
Les douleurs qui irradient du cou vers les épaules peuvent transformer des gestes quotidiens en véritables défis. Monter une étagère, conduire ou simplement tourner la tête pour discuter avec un collègue devient parfois une épreuve. Si vous vous reconnaissez dans cette situation, l’arthrose cervicale pourrait en être la cause.
Touchant près de 70 % des personnes après 60 ans selon les dernières études, cette affection reste pourtant méconnue. Beaucoup de patients vivent avec ces douleurs depuis des années avant de consulter, pensant qu’il s’agit simplement de ‘l’âge qui avance’.
Mais rassurez-vous, des solutions existent pour atténuer ces douleurs et retrouver une mobilité confortable. Les avancées médicales récentes offrent des perspectives encourageantes, même pour les cas les plus installés.
Arthrose cervicale, c’est quoi ?
1- Anatomie de la colonne cervicale et mécanisme de dégénération
Notre cou, cette merveille d’ingénierie naturelle, abrite sept vertèbres (nommées C1 à C7) séparées par des disques intervertébraux qui jouent le rôle d’amortisseurs. Ces disques, composés d’un noyau gélatineux entouré d’un anneau fibreux, permettent la souplesse et les mouvements de notre nuque.
Avec le temps, ces disques s’usent et s’affinent. Le cartilage qui recouvre les surfaces articulaires s’érode progressivement. C’est le début de l’arthrose cervicale. En réaction, l’organisme forme des excroissances osseuses appelées ostéophytes (ou « becs de perroquet ») pour tenter de stabiliser l’articulation fragilisée.
Il faut distinguer ce processus pathologique du vieillissement normal. Une légère usure est naturelle, mais l’arthrose représente une dégradation accélérée ou excessive des structures.
2- Douleur dans les épaules et le cou : Facteurs de risque à connaître
Plusieurs éléments peuvent favoriser ou accélérer l’apparition de l’arthrose cervicale :
- L’âge : premier facteur de risque, généralement après 45-50 ans
- L’hérédité : certaines personnes présentent une prédisposition génétique
- Les traumatismes : accidents, chutes ou « coup du lapin » fragilisent la zone
- Les postures problématiques : position prolongée, tête penchée (smartphone, ordinateur), sommeil inadapté
- Certaines professions : travail de force, positions statiques prolongées
Arthrose cervicale sévère symptômes
1- Douleurs caractéristiques du cou et des épaules
La douleur, symptôme principal, se manifeste généralement par une sensation sourde et profonde au niveau de la nuque. Elle s’étend souvent vers les épaules, créant parfois ce qu’on appelle une « cervicalgie chronique ».
À la différence d’un simple torticolis qui survient brutalement et disparaît en quelques jours, la douleur d’arthrose cervicale s’installe progressivement et persiste. Elle présente quelques particularités :
- Elle s’intensifie généralement en fin de journée ou après un effort
- Elle peut s’accompagner d’une sensation de blocage ou de coincement
- Elle irradie fréquemment vers l’omoplate ou le haut du bras (rarement jusqu’au coude)
2- Autres manifestations fréquentes
La raideur matinale constitue un signe classique. Après le repos nocturne, le cou semble « rouillé » et nécessite plusieurs minutes pour retrouver sa mobilité. Cette raideur s’atténue généralement avec l’activité au cours de la journée.
Les craquements cervicaux, techniquement appelés « crépitations », surviennent lors des mouvements du cou. Ces bruits et ces sensations d’avoir du « sable dans le cou » bien que parfois impressionnants, ne sont pas nécessairement douloureux ni dangereux.
Des maux de tête localisés à l’arrière du crâne peuvent apparaître, souvent décrits comme une pression ou une tension. On parle alors de céphalées cervicogéniques, des maux de tête dont l’origine se trouve dans les problèmes cervicaux.
Dans certains cas, l’arthrose cervicale peut générer des symptômes neurologiques comme des fourmillements ou engourdissements dans les bras ou les mains. Ces sensations résultent de la compression des racines nerveuses par les ostéophytes ou un disque intervertébral bombé. Ces manifestations méritent une attention médicale particulière.
Découvrez également notre article sur la névralgie cervico-brachiale ici
Problème aux cervicales : Comment identifier avec certitude l'arthrose cervicale
1- L’importance de la consultation médicale
Face à des douleurs des épaules et du cou, consulter un médecin devient indispensable. Lors de l’examen, le praticien évaluera votre mobilité cervicale et recherchera des points sensibles spécifiques. Il vous demandera de réaliser certains mouvements pour observer vos limitations.
Avant votre rendez-vous, notez précisément vos symptômes. Depuis quand souffrez-vous ? La douleur est-elle constante ou intermittente ? Qu’est-ce qui l’aggrave ou la soulage ? Ces informations sont précieuses pour établir un diagnostic précis.
Le médecin pratiquera généralement des tests comme le test de Spurling (pression sur le sommet de la tête avec le cou incliné) ou le test de distraction (soulagement par traction légère de la tête). Ces manœuvres peuvent sembler simples mais fournissent des indices déterminants pour le diagnostic.
2- Que provoque l’arthrose cervicale : Examens complémentaires déterminants
- La radiographie standard reste l’examen de référence. Elle révèle les signes caractéristiques de l’arthrose cervicale : diminution de hauteur des disques, présence d’ostéophytes, rétrécissement des espaces articulaires. Ces clichés permettent d’évaluer le stade de l’arthrose, mais pas forcément son retentissement sur les structures nerveuses.
- L’IRM devient nécessaire lorsqu’on suspecte une compression nerveuse ou médullaire. Cet examen non irradiant visualise les tissus mous (disques, ligaments, moelle épinière) et détecte d’éventuelles hernies discales ou sténoses du canal rachidien.
- Dans certains cas, un scanner peut compléter ces examens, offrant une visualisation précise des structures osseuses en 3D.
- L’électromyogramme (EMG) peut également être prescrit pour évaluer la fonction des nerfs et des muscles lorsque des symptômes neurologiques sont présents.
Comment soulager l'arthrose cervicale : Solutions médicales
1- Traitements médicamenteux efficaces
- Le traitement médicamenteux repose d’abord sur les antalgiques comme le paracétamol, à prendre régulièrement en respectant les doses maximales (généralement 3g/jour). Contrairement à une idée répandue, il est souvent plus efficace de les prendre avant que la douleur ne devienne intense.
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) comme l’ibuprofène ou le naproxène peuvent être utilisés pendant de courtes périodes lors des poussées douloureuses. Attention cependant aux précautions d’emploi, particulièrement chez les personnes âgées ou avec des antécédents gastriques.
- Les myorelaxants trouvent leur place en cas de contractures musculaires importantes. Ces médicaments détendent les muscles tendus, mais peuvent provoquer de la somnolence, à prendre en compte si vous conduisez ou travaillez sur des machines.
- Dans les cas plus sévères, les infiltrations de corticoïdes peuvent offrir un soulagement significatif. Réalisées sous contrôle radiologique, elles délivrent un anti-inflammatoire puissant directement au niveau de l’articulation touchée. Leur effet peut durer plusieurs semaines à plusieurs mois.
2- Douleur dans les épaules et le cou : Approches physiques et rééducatives
- La kinésithérapie constitue un pilier du traitement. Le kinésithérapeute propose des techniques manuelles pour assouplir la zone cervicale et des exercices personnalisés. Une fréquence de deux séances hebdomadaires pendant quelques semaines, puis un entretien régulier, donne généralement de bons résultats.
- L’ostéopathie ou la chiropraxie peuvent apporter un soulagement complémentaire. Ces approches visent à restaurer la mobilité articulaire et à réduire les tensions musculaires par des manipulations douces. Assurez-vous toutefois de consulter des praticiens formés et expérimentés.
- L’acupuncture montre des résultats intéressants pour certains patients. Une méta-analyse récente publiée dans le Journal of Pain Research suggère une efficacité modérée sur la douleur et la fonction, bien que les mécanismes d’action restent partiellement compris.
- Côté appareillage, les colliers cervicaux souples peuvent soulager temporairement en phase aiguë, mais attention à ne pas en abuser, ils peuvent affaiblir la musculature cervicale s’ils sont portés trop longtemps.
- Les oreillers ergonomiques, en revanche, représentent un investissement judicieux pour un meilleur alignement cervical pendant le sommeil.
Remède de grand-mère arthrose cervicale
1- Exercices thérapeutiques à pratiquer chez soi
Voici quelques exercices simples mais efficaces à réaliser quotidiennement :
- Étirement en flexion-extension : Assis confortablement, baissez lentement le menton vers la poitrine, maintenez 5 secondes, puis relevez doucement la tête et regardez légèrement vers le plafond. Répétez 5 fois.
- Rotations douces : Tournez lentement la tête d’un côté puis de l’autre, comme pour dire « non ». Ne forcez pas aux extrémités du mouvement. 10 rotations de chaque côté.
- Renforcement isométrique : Placez votre main sur votre front et poussez avec la tête contre la résistance de la main (sans bouger la tête). Maintenez 5 secondes. Répétez sur les côtés et l’arrière de la tête.
L’idéal est de pratiquer ces exercices le matin pour diminuer la raideur et le soir pour relâcher les tensions accumulées pendant la journée.
2- Comment soulager l’arthrose cervicale : Adaptations ergonomiques essentielles
L’aménagement de votre espace de travail joue un rôle crucial. Votre écran doit être à hauteur des yeux, à environ une longueur de bras. Utilisez un support pour documents près de l’écran afin d’éviter les mouvements répétés de la tête.
Pour le sommeil, quel oreiller pour arthrose cervicale ? privilégiez un oreiller qui maintient la courbure naturelle de votre cou. Ni trop haut, ni trop bas, il doit combler l’espace entre votre tête et vos épaules. Les oreillers à mémoire de forme ou cervicaux sont souvent recommandés.
Au volant, ajustez l’appui-tête pour qu’il soit à la bonne hauteur (le haut de l’appui-tête au niveau du sommet de votre crâne). Évitez les longs trajets sans pause, arrêtez-vous toutes les deux heures pour vous étirer.
Certains gestes du quotidien méritent attention. Évitez de coincer le téléphone entre l’épaule et l’oreille (privilégiez un kit mains libres), limitez le port de charges lourdes, et ne restez pas en position statique prolongée. La règle des 30 minutes est efficace : toutes les demi-heures, changez de position ou faites quelques étirements.
Lire aussi notre article sur hernie discale cervicale ici
Alimentation et compléments pour combattre l'inflammation
1- Aliments anti-inflammatoires à privilégier
L’inflammation joue un rôle clé dans l’arthrose cervicale et notre assiette peut devenir une alliée précieuse.
- Les poissons gras comme le saumon, le maquereau ou les sardines sont particulièrement recommandés. Riches en oméga-3, ils contribuent à diminuer l’inflammation articulaire. Une portion de 150 g, deux à trois fois par semaine, semble être un bon équilibre.
- Les fruits et légumes colorés méritent une place de choix dans votre alimentation. Ils contiennent des antioxydants qui neutralisent les radicaux libres responsables des dommages cellulaires. Les baies, les agrumes, les légumes à feuilles vertes et les crucifères comme le brocoli sont particulièrement bénéfiques.
- Côté épices, le curcuma fait figure de star grâce à la curcumine, son principe actif aux propriétés anti-inflammatoires. Pour optimiser son absorption, associez-le à du poivre noir et consommez-le avec un corps gras. Le gingembre offre également des bienfaits similaires.
À l’inverse, certains aliments peuvent entretenir l’inflammation : Limitez la viande rouge, les produits industriels riches en graisses saturées, les sucres raffinés et l’alcool, ils pourraient aggraver vos symptômes.
2- Compléments nutritionnels prometteurs
- La glucosamine et la chondroïtine font l’objet de nombreuses études. Ces substances naturellement présentes dans le cartilage semblent, pour certaines personnes, contribuer à ralentir sa dégradation et réduire les douleurs. Les résultats des études sont mitigés, mais certains patients rapportent un soulagement significatif après quelques semaines d’utilisation régulière.
- Les compléments à base de curcuma ou de gingembre offrent une alternative aux épices fraîches. Pour qu’ils soient efficaces, vérifiez leur biodisponibilité, certaines formulations incluent de la pipérine (extrait de poivre noir) qui multiplie l’absorption de la curcumine.
- Le collagène hydrolysé gagne en popularité. Cette forme particulière de collagène serait mieux absorbée par l’organisme. Une étude publiée dans Current Medical Research and Opinion suggère qu’une supplémentation de 10 g par jour pourrait améliorer le confort articulaire.
- N’oublions pas le duo calcium-vitamine D, essentiel à la santé osseuse. Après 50 ans, nos besoins augmentent alors que notre capacité d’absorption diminue. Une supplémentation peut s’avérer nécessaire, surtout pendant les mois d’hiver où l’exposition solaire est limitée.
Quand faut-il envisager une intervention chirurgicale ?
1- Chirurgie cervicale : Signes d’alerte nécessitant une consultation urgente
Certains symptômes ne doivent jamais être ignorés. Si vous ressentez un engourdissement progressif dans les bras ou les jambes, une faiblesse musculaire, des difficultés à contrôler vos mouvements ou vos sphincters, consultez rapidement. Ces signes peuvent indiquer une compression médullaire qui nécessite une prise en charge immédiate.
Une douleur qui résiste aux traitements conventionnels pendant plusieurs mois, particulièrement si elle perturbe votre sommeil ou limite significativement vos activités quotidiennes, mérite également une réévaluation médicale.
Michelle, 65 ans, a longtemps hésité avant de consulter pour ses douleurs cervicales qui irradiaient dans le bras droit. « Je pensais que ça passerait avec le temps ». C’est finalement l’apparition d’une faiblesse pour saisir les objets qui l’a décidé à consulter, révélant une compression nerveuse qui nécessitait une intervention.
2- Options chirurgicales modernes
La chirurgie n’est envisagée qu’en dernier recours, lorsque les traitements conservateurs ont échoué ou face à des complications neurologiques. Les techniques ont considérablement évolué, avec des approches mini-invasives qui réduisent les traumatismes opératoires.
- La discectomie cervicale consiste à retirer un disque endommagé, généralement remplacé par une prothèse (arthroplastie) ou une fusion osseuse (arthrodèse). L’arthroplastie présente l’avantage de préserver la mobilité du segment opéré.
- La laminoplastie élargit le canal rachidien pour libérer la moelle épinière et les nerfs comprimés, tandis que la foraminotomie dégage les foramens intervertébraux pour libérer les racines nerveuses.
- La récupération post-opératoire dure généralement entre 4 et 12 semaines selon la technique utilisée et votre condition physique. Les résultats sont encourageants : plus de 80 % des patients rapportent une amélioration significative de leurs symptômes.
Lire aussi notre article sur arthrodèse cervicale ici
Douleur dans les épaules et le cou : Témoignages et parcours de patients
Histoires de réussite et stratégies personnalisées
Brigitte, 57 ans, enseignante, souffrait d’arthrose cervicale depuis près de 5 ans. » « Les douleurs étaient devenues mon quotidien, surtout après de longues journées à corriger des copies ». Sa solution ? Une routine quotidienne d’exercices de 10 minutes matin et soir, associée à des séances de yoga adapté. « Ce n’est pas miraculeux, mais j’ai réduit ma consommation d’antalgiques de moitié, et je dors beaucoup mieux ».
Jacques, 62 ans, ancien maçon, a opté pour une approche combinée. « J’ai testé un peu tout, kinésithérapie, ostéopathie, médicaments… Ce qui a vraiment changé ma vie, c’est quand j’ai commencé à tout coordonner. » Son programme personnalisé inclut désormais des séances de kiné mensuelles, une alimentation anti-inflammatoire, et un oreiller ergonomique. « Je ne dirais pas que je suis guéri, mais je vis normalement maintenant ».
Marie-France, 73 ans, a failli passer sur le billard. « Mon chirurgien me proposait une opération, mais j’avais peur. » Sur conseil de son médecin traitant, elle a d’abord essayé une rééducation intensive combinée à des infiltrations guidées par imagerie. « Après six mois d’efforts, j’ai retrouvé suffisamment de mobilité et de confort pour éviter l’opération. Je fais toujours attention, mais je peux à nouveau jardiner, ma passion ».
Douleur dans les épaules et le cou : La conclusion
L’arthrose cervicale, bien que fréquente et parfois douloureuse, n’est pas une fatalité. Les approches thérapeutiques modernes permettent dans la majorité des cas de soulager efficacement les symptômes et de maintenir une bonne qualité de vie.
Le secret d’une prise en charge réussie réside dans la combinaison de plusieurs stratégies : médicaments ciblés, thérapies physiques, adaptations ergonomiques et modifications du mode de vie. Chaque personne est unique et nécessite un programme personnalisé.
N’oubliez pas que les douleurs persistantes ne sont pas normales, même avec l’âge. Consultez un professionnel de santé pour établir un diagnostic précis et élaborer un plan de traitement adapté à votre situation.
Avec patience et persévérance, il est tout à fait possible de retrouver confort et mobilité malgré l’arthrose cervicale. Les témoignages recueillis le confirment : même dans les cas avancés, des améliorations significatives restent possibles.
FAQ sur l’arthrose cervicale
L'arthrose cervicale est-elle inévitable avec l'âge ?
Non, bien qu’elle soit fréquente après 60 ans, elle n’est pas inéluctable. Une bonne posture, une activité physique régulière et une alimentation équilibrée peuvent réduire considérablement les risques.
Peut-on pratiquer du sport avec de l'arthrose cervicale ?
Absolument, mais il faut choisir des activités adaptées. La natation, le vélo, la marche et certaines formes de yoga sont généralement bien tolérés. Évitez les sports à impact ou à risque de choc pour le cou.
Les changements climatiques influencent-ils les douleurs ?
De nombreux patients rapportent une sensibilité aux changements météorologiques, particulièrement à l’humidité et aux basses températures. Cette corrélation, bien que difficile à prouver scientifiquement, semble réelle pour beaucoup.
Quelles sont les innovations thérapeutiques prometteuses ?
Les thérapies biologiques comme le PRP (plasma riche en plaquettes) ou les cellules souches font l’objet de recherches. Les technologies de réalité virtuelle pour la rééducation montrent également des résultats encourageants.
Comment concilier travail sur écran et arthrose cervicale ?
L’ergonomie est essentielle : écran à hauteur des yeux, pauses régulières (5 minutes toutes les heures), exercices d’étirement pendant ces pauses, et potentiellement l’utilisation d’un pupitre pour les documents.
Quelle est la meilleure pommade pour l’arthrose cervicale ?
Le Voltarène en gel 2 % soulage bien la douleur dans les épaules et le cou. Massez délicatement la zone jusqu’à pénétration totale du gel.


